Dans chaque hameau on peut encore se rafraîchir à une fontaine, un bassin, un ou plusieurs lavoirs. Plus de battoir, plus de brosse ni de savon, mais toujours le cristallin chant de l'eau. Il a bien failli être interrompu par les lois de la ville. Mais les montagnards se sont bien défendus pour que leurs villages conservent cette spécificité : la poésie et la fraîcheur du babil des fontaines.